Le peu de poids des mots cède la place, le temps d’une nIEWs, au choc des images… C’est l’objectif de ce court texte sur un sujet mille fois abordé dans des textes antérieurs : la place excessive de la voiture dans nos aménagements et son lot de nuisances, ici sous forme de bétonisation, de destruction du tissu urbain, d’obstacle incontournable à une accessibilité aisées, de destruction de patrimoine, … Au moment où les gouvernements régionaux belges, et en particulier wallon, se mettent en place, souhaitons que ces vues marquent les esprits et osent faire le pari qu’une vie dans laquelle la voiture est mise à sa juste place de simple objet, aujourd’hui pratique, mais demain inutile est un pari gagnant !!
Stock de voitures après importation et avant distribution, dans le sud-est de Londres, à Sheerness, Royaume-Uni (images : Bing)
Le centre commercial périphérique type : des bâtiments commerciaux de plain-pied et des nappes de parking tout autour. Ici, Ville 2 à Charleroi (images : Bing)
Dans la vieille ville de Stavelot, on a aménagé la très patrimoniale Grand-Place en parking extérieur (images : Google Earth)
Sur les hauteurs de Liège, à Rocourt, la zone commerciale laisse peu de place au piéton (images : Bing)
Le passage et la sortie de l’autoroute E25 dans le centre-ville de Liège. D’un ensemble bâti historiquement joint, on obtient trois quartiers distincts nettement séparés (images : Bing)
Le Grands Prés à Mons se présentent comme le prolongement du centre-ville. L’accessibilité et les cheminements y diffèrent néanmoins radicalement : au centre piétonnier de Mons, les Grands Prés répondent par un « tout-à-la-voiture » assumé (images : Bing)