Les discours des femmes et hommes politiques qui participeront aux Fêtes de Wallonie “100ème édition”, qui se tiennent actuellement à Namur, s’inscriront à coup sûr dans la perspective des élections qui se profilent. Canopea compte participer à la fête en proposant aux futur·e·s candidat·e·s de quoi développer des Déclarations de politiques imprégnées d’une réelle volonté de relever les défis climatiques et de la biodiversité.
Après consultation de l’ensemble de ses associations, Canopea, Fédération environnementale, a concocté, comme elle le fait systématiquement à l’approche d’élections, des mémorandums. L’exercice “2024” est particulièrement abouti : il propose pas moins de 626 mesures, structurées en 9 lignes directrices couvrant 13 thématiques !
Sylvie Meekers, Directrice générale de Canopea : « La crise environnementale est le défi de notre époque. Y répondre implique de prendre des décisions fortes dans une série de domaines pointus (mobilité, agriculture, aménagement du territoire, alimentation, gestion des ressources etc.) mais aussi dans des matières transversales qui touchent au fonctionnement même de notre société : la gouvernance, les finances ou encore la fiscalité, par exemple. Aussi, Canopea propose aujourd’hui des recommandations qui vont bien au-delà des thématiques environnementales classiques ».
Sylvie Meekers précise : « Ce site est un outil évolutif dans lequel nous voulons adapter nos propositions en fonction des échanges et discussions avec les différentes parties prenantes. C’est donc un outil pour les décideurs politiques mais aussi pour tous ceux et celles (journalistes, citoyen·ne·s soucieux·euses de l’environnement, étudiant·e·s etc.) qui désirent s’informer sur les mesures à mettre en place pour sauvegarder l’environnement, en l’occurrence : atteindre les objectifs climatiques et protéger la biodiversité ».
Il faut aujourd’hui reconnaitre que la crise environnementale implique des changements profonds dans la manière dont fonctionne notre société. Aussi, conclut Sylvie Meekers : “nous devons revoir certaines de nos croyances et oser prendre des mesures à la fois disruptives et constructives pour bâtir un futur durable, solidaire et prospère pour tous. Nous devons notamment être attentif à ne pas nous laisser séduire par les sirènes du techno-utopisme qui, in fine, justifient l’inaction”.
L’ensemble des chargé·e·s de mission et du comité de direction de Canopea se tient à la disposition des rédactions pour présenter les mémorandums et, en fonction des souhaits, développer des parties spécifiques de ceux-ci.
Cet article est un communiqué de presse de Canopea envoyé vendredi 15 septembre.
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