Partout,en ces temps d'austérité, l'heure est à la chasse au gaspi. Certains s'y risquent même à inventer de nouvelles taxes en vue de renflouer quelque peu les maigres caisses étatiques. C'est notamment le cas de la Hongrie qui vient de lancer une taxe sur les aliments trop sucrés ou trop salés. Objectif ? Officiellement, lutter contre l'obésité. Mais les mauvaises langues diront que l'objectif caché est budgétaire, la Hongrie faisant face à d'importants déficits publics.
D'après une récente étude, le potentiel touristique des Ardennes, toutes frontières confondues, serait réel, voire même exceptionnel. À condition toutefois de mieux l'exploiter, en l'ouvrant par exemple à de formes de tourisme novatrices, à l'instar de l'écotourisme.
Priée de revoir sa copie, la Commission européenne revient à la charge avec une nouvelle proposition de taxe carbone. Celle-ci a été présentée ce mercredi 13 avril.
Cette nouvelle proposition va incontestablement dans la bonne direction mais n'est néanmoins pas dénuée de failles, à même de nuire à l'efficacité même de la taxe.
Alors que la surconsommation, alimentée notamment par la succession de fêtes commerciales (dont la dernière en date, la Saint Valentin), reste le comportement économique modèle de nos économies capitalistes, l'économiste américain Robert H. Franck vient de publier un ouvrage intitulé «La course au luxe : l'économie de la cupidité et la psychologie du bonheur». Qu'entend-il par là? Et en quoi cela peut nous être utile dans notre réflexion sur notre probablement difficile avenir?