Depuis les années 90, une étiquette énergétique caractérise chaque machine à laver et chaque sèche-linge, classés de "A" à "G". Cet étiquetage s'est étendu à tous les "gros" appareils électroménagers (réfrigérateurs, congélateurs, fours, lave-vaisselles...). Pour prendre en compte l’amélioration constante des performances énergétiques des appareils récents la question de l’adaptation du système d'étiquetage s’est posée. L’option prise par l’Europe poussée par l’industrie est fortement critiquable en ce qu’elle ne permet plus d'orienter précisément la décision du consommateur vers le meilleur choix.
Une dizaine d’associations venues d’horizons divers [[Les associations initiatrices de la plateforme VAP ! sont : Consoloisirs.be, le Conseil de la Jeunesse d’Expression Française (CJEF), Culture et développement, les Equipes Populaires, le Groupe Socialiste d’Action et de Réflexion en Audiovisuel (GSARA), la Fédération Inter-Environnement Wallonie (IEW), Inter-Environnement Bruxelles (IEB) et Respire asbl]] ont présenté ce 16 mars à la presse une structure commune baptisée « plateforme Vigilance Action Pub ! » (VAP !). Les partenaires réunis dans cette initiative, dont la Fédération Inter-Environnement Wallonie, souhaitent promouvoir la contribution des citoyens au débat sur l’influence grandissante de la publicité et obtenir un encadrement renforcé des pratiques publicitaires.
Depuis sa création en France en 2006, la semaine sans pesticides rencontre de plus en plus de succès et suscite un large intérêt à travers le monde. Brésil, Cameroun, Guyane, Mauritanie, Nouvelle Calédonie, Québec, Tunisie, Italie, Slovénie, Slovaquie, Macédoine, Angleterre, Pays-Bas, et bien évidement la Belgique sont autant de pays qui ont rejoint la France pour organiser une Semaine sans pesticides mondiale.
C'est officiel: cette année, les travailleurs pourront recevoir des eco-chèques de leurs employeurs pour un montant de 125 euros maximum. Le but: renforcer le pouvoir d'achat des travailleurs et promouvoir les produits « écologiques ». Mais peut-on vraiment parler d' « eco »-chèques?