Avec 70.000 tonnes de produits toxiques utilisés annuellement, la France fait partie des gros consommateurs de pesticides dont les impacts environnementaux et sanitaires sont avérés depuis de longues années. Paradoxalement, l'État français favorise la vente des pesticides qui bénéficient d'un taux de TVA réduit. Manque à gagner donc qui vient s'ajouter à celui des coûts externes à charge de la collectivité. En ces temps de rigueur budgétaire, une meilleure considération fiscale des pesticides serait à la fois salutaire à l'environnement mais aussi au porte-feuilles public ! Et cela vaut également pour la Belgique où les coûts externes liés à la production et l'utilisation des pesticides sont inexistants dans les prix de vente.
Après des débuts enthousiastes, les agrocarburants sont aujourd'hui la cible de très nombreuses critiques. Les politiques mises en œuvre ne semblent pourtant pas tenir compte de cette nouvelle réalité. Pourquoi... ?
Dans le draft d’une étude à paraître le 5 octobre, des chercheurs du Comité scientifique de l’Agence Européenne pour l’Environnement (AEE) dénoncent l’erreur de considérer la biomasse énergie et les…
Les épisodes pluvieux plus intenses aujourd'hui que par le passé ne constituent pas la seule explication des coulées boueuses qui frappent certaines régions de Wallonie à un rythme accéléré. L’évolution des pratiques et techniques agricoles contribue elle-aussi grandement au phénomène.
La Fédération demande dès lors aux autorités de mettre en ½uvre sans délai les mesures permettant d’encadrer cette évolution et d’éviter en conséquence des déferlements dévastateurs.