Action gouvernementale et information: risques de dérive…

En famille ou entre amis, il n'est pas rare d'entendre l'un ou l'autre, ponctuer une conversation politique, par un « ils sont tous pareils ! » ou un « comment veux-tu les départager ? Ils disent tous la même chose ! ». Les récentes élections fédérales ont ressuscité ces petites phrases qui tuent le débat. Je n'ai pas la prétention, dans les lignes qui suivent de vous livrer une analyse détaillée des raisons qui nous amènent à nous détacher de la « chose politique », mais plutôt de vous faire partager quelques observations ou réflexions qui m'ont marquée, sur les parlementaires, les journalistes et bien sûr nos Ministres . Exercice emprunt d'une forte subjectivité, j'en conviens, qui n'est somme toute rien d'autre que le reflet d'un certain vécu du « poto-poto wallo-wallon »...

Quel rôle veut-on faire jouer aux associations ?

Deux situations récentes amènent à s’interroger sur les relations entre les pouvoirs subsidiants et le monde associatif. Il semble en effet que, de plus en plus régulièrement, les premiers voient dans le second un simple exécutant au service de choix politiques et stratégiques qui lui sont imposés. Les voies discordantes et l’indépendance d’action ne sont pas les bienvenues et tout paraît bon pour privilégier des comportements plus dociles. Pareil constat ne manque pas d’inquiéter car la stimulation démocratique impulsée par la mouvance associative constitue une composante essentielle de nos sociétés.

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