Le 27 mai, le décret coexistence OGM est examiné au Parlement Wallon
Nature & Progrès, l’UNAB, le CEB, la FUGEA, Greenpeace, et d'autres associations seront présents afin d’exiger un décret le plus strict possible.
Nature & Progrès, l’UNAB, le CEB, la FUGEA, Greenpeace, et d'autres associations seront présents afin d’exiger un décret le plus strict possible.
A l'instar des pays du Sud de l'Europe, la Wallonie ne dispose pas vraiment d'une grande variété de productions de « qualité différenciée », reconnues par le grand public. Malgré une politique plus volontariste qui a été mise en place dans les années 90, seuls émergent les produits issus de l'agriculture biologique et de l'agriculture intégrée, des qualités reconnues par ailleurs à coté de quelques productions centrées sur le bien-être animal. Tentative d'évaluation
Alors que dans certains pays naissent des émeutes liées à la famine générée par l'augmentation du prix des produits agricoles de base, d'autres voient manifester les grands propriétaires fonciers pour éluder de l'impôt les bénéfices colossaux qu'ils ont engrangés suite à cette augmentation. Plusieurs études montrent pourtant l'impasse - les coûts sociaux et environnementaux - des modes de production adoptés par ces grands propriétaires à travers notamment un recours massif aux cultures génétiquement modifiées. Une remise en question qui sera difficile à réaliser tant ce type d'agriculture est étroitement lié aux OGM.
En mémoire du massacre d'Eldorado dos Carajas - 17 avril - Journée mondiale des luttes paysannes