Ces dernières années, une poignée de climatosceptiques belges tentent de semer le doute sur la réalité du réchauffement global et remettent frontalement en cause le bien-fondé des politiques menées en…
Repli identitaire, rejet des « diktats » de l’Europe, nationalisme : après les élections du 25 mai, les analystes se sont perdus en conjectures pour tenter d’identifier les causes de…
Le 2 juin dernier, l’administration américaine de protection de l’environnement (Environmental Protection Agengy - EPA) dévoilait son plan pour s’attaquer aux émissions de CO2 des centrales électriques américaines. Objectif : 30% de réduction d’ici 2030 (par rapport à 2005). L’annonce a été saluée par l’ancien vice-président Al Gore comme « l’étape la plus importante pour lutter contre la crise climatique dans l’histoire de notre pays ». Les Etats-Unis, deuxième émetteur au monde, auraient-ils enfin pris la mesure de la menace climatique ?[[Sources utilisées pour cet article :
• « Obama follows through on carbon emissions », Elizabeth Kolbert, The New Yorker, 2 juin 2014.
“Obama unveils historic rules to reduce coal pollution by 30%”, Suzanne Goldenberg,The Guardian, 2 juin 2014
« Everything you need to know about the EPA’s proposed rule on coal plants”, Juliet Eilperin and Steven Mufson, Wasington Post, 2 juin 2014
Communiqué de presse de l’EPA , 2 juin 2014
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Renault, PSA, Toyota et Fiat font figure de modèles en matière de réduction des émissions de CO2 de leur production. A l’opposé, Mazda, BMW, Daimler et Honda se distinguent par leurs piètres résultats. C’est ce qui ressort d’un rapport[[Ce rapport, qui en est à sa neuvième édition, réalise un suivi annuel des progrès réalisés par les différents constructeurs d’automobiles en matière de réduction des émissions de CO2 des voitures neuves.]] que la fédération européenne Transport and Environment (T&E), dont IEW est membre, publie aujourd’hui.