Non, la législation européenne n’obligera pas des raffineries à fermer leurs portes !

Selon l’industrie pétrolière, le nouveau règlement européen visant à abaisser les émissions de CO2 des carburants entraînerait une « charge administrative disproportionnée ». Une étude réalisée par trois consultants indépendants vient toutefois de balayer cette affirmation. L’étude conclut en effet que les coûts administratifs et de reporting induits par l’application de la Directive sur la qualité des carburants se traduiraient par une augmentation de moins de 1/2 cent sur un « plein » moyen ou 1 cent sur un baril de brut. La Fédération européenne Transport and Environment (T&E), à laquelle appartient Inter-Environnement Wallonie, appelle dès lors les Etats-membres européens à rester sourds au lobby infondé de l’industrie et à approuver sans plus tarder la nouvelle législation.

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