La fuite (auto)routière

Contournement nord de Wavre, deuxième route d’accès au parc Pairi Daiza, liaison A605 (CHB) à l’est de Liège, tracé E420-N5 au sud de Charleroi… Les projets d’extension du réseau routier, reliquats d’une politique trouvant ses origines au milieu des années 1960, semblent connaître un « retour de printemps ». Analyse d’un phénomène interpellant, illustrée par le projet E420-N5.

Le modèle des nœuds de correspondance : un mythe suisse, un concept théorique ou un avenir prometteur pour le rail belge ?

Le nouveau plan transport de la SNCB qui est entré en vigueur la semaine dernière a augmenté les possibilités de correspondances dans 20% des gares ou points d’arrêt, selon l’annonce faite par l’entreprise ferroviaire belge. On imagine que beaucoup de voyageurs sont satisfaits de ces nouvelles possibilités de correspondances ; on sait que d’autres, malheureusement, ont vu leur possibilité de correspondance dégradée voire anéantie. Mais est-il possible de faire mieux sur notre réseau ? Petit explication sur le modèle d’exploitation en nœuds de correspondance, et aperçu des contraintes et atouts inhérents à ce système.

Investir davantage dans des parkings autour des gares, une mauvaise voie pour le rail.

Réchauffement climatique, pollution de l’air, congestion et insécurité routière, les raisons pour favoriser le report modal de la route vers le rail sont nombreuses et connues. Augmenter le nombre de voyageurs dans les trains est par ailleurs nécessaire pour améliorer l’efficacité économique et écologique de la SNCB. Mais quels sont les leviers les plus opérants pour atteindre cet objectif ? Investir dans l’extension de parkings autour des gares IC est-il une bonne formule ?

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