Après le « workaholic », va-t-on inscrire un nouveau terme dans le lexique des « dépendances » : le « pesticidaholic » ? Les principaux signes cliniques seraient : une utilisation régulière et compulsive de pesticides, une impossibilité d’admettre cette réalité et de rechercher des solutions préventives ou alternatives.
Les camions sur la route, les avions de Charleroi, Zaventem ou Bierset, le crissement du freinage des trains, le voisin et sa musique, les mobylettes du quartier,… « STOP ! » a-t-on envie…
C’est la fin de l’année, le temps des bilans, des bêtisiers mais aussi des bonnes résolutions pour l’année suivante. Et en matière de gestion de la qualité de l’air, y…
Depuis bien longtemps, les associations de protection de l’environnement plaident pour une diminution de l’utilisation des pesticides. En effet, leur usage génère de nombreux coûts sociétaux supportés par le contribuable…
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