Smog : c’est pas moi, c’est les autres !

Aujourd’hui comme hier, la circulation automobile dans notre pays fait l’objet de limitations de vitesse motivées par des pics de pollution aux particules fines que l’on nous annonce venues des pays de l’Est. La Fédération déplore cette communication simpliste qui déresponsabilise les citoyens. Pour IEW, s’il y a pics, c’est parce que les niveaux habituels de particules fines sont tels que le moindre phénomène « extraordinaire » génère un dépassement des seuils considérés comme tolérables. Plus que les pics épisodiques, c’est donc cette pollution de fond qu’il convient d’attaquer.

Substances dangereuses: votre droit de savoir…et d’agir!

Des substances dangereuses pour la santé et l'environnement se trouvent dans les produits que nous utilisons quotidiennement. Nous pouvons changer les choses en faisant pression sur les entreprises d'une manière très simple: en leur posant des questions. La campagne du Bureau Européen de l'Environnement (BEE) « Votre droit de savoir » vous y invite.

Smog : c’est pas moi, c’est les autres !

Aujourd’hui comme hier, la circulation automobile dans notre pays fait l’objet de limitations de vitesse motivées par des pics de pollution aux particules fines que l’on nous annonce venues des pays de l’Est. La Fédération déplore cette communication simpliste qui déresponsabilise les citoyens. Pour IEW, s’il y a pics, c’est parce que les niveaux habituels de particules fines sont tels que le moindre phénomène « extraordinaire » génère un dépassement des seuils considérés comme tolérables. Plus que les pics épisodiques, c’est donc cette pollution de fond qu’il convient d’attaquer.

Première européenne dans l’information sur les pesticides

Le SPF (Service public fédéral) Santé publique vient de communiquer à notre Fédération les quantités de substances actives contenues dans les produits phytosanitaires mis sur le marché belge entre 1990 et 2008. La transmission de telles informations constitue une première en Europe car elle était jusqu’ici systématiquement refusée au prétexte de leur caractère confidentiel. Pour Inter-Environnement Wallonie qui bataille depuis juillet 2008 sur ce dossier, ce résultat obtenu en vertu du droit d’accès à l’information environnementale est une avancée majeure pour la transparence démocratique et le contrôle citoyen.

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